Debout, «Soldat»!! [PV Alexander Finn]

Ce matin là, Orianan Zephira s'était levée de mauvaise humeur. Pourquoi? Parce qu'elle avait dut se quereller avec Ennima Rakas dans son rêve toute la nuit. Enfin bref, essayant de se changer les idées de la dispute nocturne, la jeune chef s'étira, avant de sortir de sa chambre. Puis, elle remarqua que la grande place était presque vide. Sseulement les serviteurs étaient levés et même les gardes et les guerriers n'était pas présents. La jolie déesse soupira, avant d'entendre son cousin qui l'appelait. Orianna se retourna vers lui, énnervée.

- Où sont les membres? Demanda-t-elle.
- Dans les chambres. Répondit Glenn.
- Merci. Souffla la chef.

Elle se dirigea aussitôt vers les chambres et y vit tous les guerriers et gardes y sortirent pour aller faire leur travail. Tous, sauf un. Et elle leva légèrement les yeux au ciel avant de poser son regard vers la chambre du concerné. Elle ne prit même pas la peine de cogner et défonça presque la porte. Alexander Finn, guerrier loyal et efficace, la plupart du temps. Elle s'avença doucement vers lui. Puis...

- Debout soldat!! Ordonna Orianna, avant d'éclater de rire devant le regard affolé du guerrier.

Elle ne put s'empêcher de sourire à la vue de celui-ci, puisqu'ils partageaient une relation spéciale depuis près d'un an.

(Je le fais assez simple, puisque c'est ton premier Rp). ^_^.

Alexander était tranquillement en train de se reposer lorsqu'une furie avait déboulée sans prévenir dans sa chambre pour le réveiller. Affolé le soldat s'était réveillé d'un bond, regardant autour de lui pour savoir qui l'avait tiré de son fragile sommeil. Puis, il aperçut la furie qui se tenait devant lui, un grand sourire affiché sur ses lèvres.
La furie en question éclata de rire à la vue d'un Alexander  décontenancé qui semblait chercher une raison particulière quant aux agissements de cette dernière.
Le rire contagieux de la jeune femme avait fini par atteindre le jeune soldat qui éclata de rire à son tour.
Depuis leur première rencontre, leur relation avait changée, évoluée et ils partageaient maintenant une relation spéciale très forte.
Leur rire se tarirent et le calme revint petit à petit tandis qu'ils se regardaient , amoureusement.
Alexander fut tout de suite frappé par les traits fatigués et les cernes qui s'étaient dessinés en quelques jours sur le beau visage d'Orianna.
Tout en prenant son temps le jeune homme sortit de sa couchette, ses cheveux décoiffés firent sourire la jeune femme qui les regarda avec  une lueur d'amusement dans ses yeux. S'adossant au mur de la pièce, le soldat prit la parole:

- Tu m'as l'air fatiguée Orianna tu es sûre que ça va ?

Tu écrit très bien, mais puisque c'est ton premier Rp, je dois t'expliquer un petit truc. Le but d'un Rp, c'est de jouer ton personnage qui intéragit avec celui d'un(e) autre. En d'autres mots, tu ne peux pas écrire les réponses dans ton Rp, donc, tu dois écrire ce que ton personnage dit, et laisser l'autre personne jouer le sien dans sa réponse. Je te demandes donc, s.v.p. d'éditer ton message en enlevant les phrases qui suivent «Tu m'as l'air fatiguée Orianna tu es sûre que ça va?», puisque c'est à Orianna, donc moi, de répondre. Sinon tu écris très bien. ^_^.

Orianna fronça des sourcils sur cette remarque. La jolie déesse n'était pas faitugée, elle était épuisée. Un baillement en engendrait toujours un second. En fait, la jeune chef ne s'était jamais sentie aussi surmenée. Pendant son «sommeil», Orianna s'était fait visitée par les quatre déesses. Pourquoi? Pour discuter des clans. Plus précisément, les lieutenants. Malheureusement, la jeune déscendante n'avait pas été éclairée sur le sujet, mais attaquée par la déesse du feu. Elle se rappella les paroles d'Ennima.

«Ce n'est pas parce que tu portes le nom de famille de Sonna et que tu as battu sans gêne ta cousine que tu es digne du rang de chef. Détrompes-toi.»

Les poings d'Orianna se serrèrent en revivant ce moment. Puis, elle vit son reflet dans une glace derrière le lit et grimaça presque à la vue des cernes bleutées qui abordait son visage habituellement parfait et doux. Puis, elle soupira. Alexander était toujours là, compréhensif.

- Bref, que fais-tu là à dormir à cette heure? Il y a les patrouilles à faire et tu es supposé être vétéran. Tu as trop travaillé hier? Normalement, tu serais déjà rendu aux plaines abyssales. Souffla la déesse de l'eau, intriguée.

Puis, elle alla s'asseoir aux côtés du soldat, sur son lit.

Les voix des membres du clan qui se saluaient dans la grande place se firent entendre jusqu'au chambres des guerriers.

(Désolée, j'étais pressée alors c'est un peu simple.).

A cause des événements de la veille, qui lui avaient valu d'être suspendu, Alexander était plus qu'embarrassé par la question de sa Chef. En effet, s'il était apprécié par certains  Commandants qui acceptaient volontiers ses conseils, d'autres ne pouvaient tout simplement pas le supporter et le lui faisaient savoir. Le jeune homme qui était loin d'être rancunier n'accordait pas vraiment d'importance aux agissements de ces hauts dignitaires, qui semblaient le détester.
Orianna, qui n'avait toujours pas obtenu de réponses à ses questions, interrogea le jeune homme du regard. Il la regarda à son tour tout en gardant le silence, une lueur de défis dans ses yeux. La jeune femme le regarda plus durement, lui faisant bien comprendre qu'elle attendait une véritable réponse et qu'elle n'allait pas lâcher l'affaire si facilement. Alexander souffla et obtempéra:

- Hum... Comment t'expliquer cela... J'ai été suspendu pour quelque jours à cause d'un "comportement insolent" comme le dirait le Sergent Riburn...

Exaspérée, Orianna semblait redouter la suite mais elle laissa cependant le soldat continuer:

- Il y a quelques jours je me suis rendu sur ordre du Commandant Erwin à une réunion organisée par le Sergent Riburn. Récemment un groupe de voleurs et de mercenaires sévit en ville, ils ont déjà fait plusieurs blessés. Le but de la réunion était donc d'échafauder une stratégie contre ces malfaiteurs afin de les arrêter. La stratégie du Sergent Riburn était totalement stupide. Je lui ais donc fait savoir mon avis sur ce qu'il appelait une "stratégie" en lui exposant les points faibles de cette dernière. J'ai ensuite expliqué mon point de vue et la stratégie pour laquelle j'aurai optée. Cependant "Monsieur le Sergent Riburn" ne l'entendait pas de cette oreille et l'a mal pris. Et devant mon "insolence", il m'a suspendu.

Le jeune homme marqua une pause, et posa son regard sur Orianna qui semblait lutter contre la fatigue. Il décida donc d'abréger son récit et d'hausser les épaules tout en concluant:

- Je suis donc réduit aux corvées et consigné dans ma chambre pour disons quelques semaines si ce vieux rat se montre clément !

Orianna esquissa un faible sourire, sûrement amusée par l'image d'Alexander contraint de nettoyer les locaux et le matériel.
Le jeune homme savait qu'il n'avait pas mal agit, mais le regard mi-exaspéré mi-amusé d'Orianna  le faisait douter.
Elle était épuisée et semblait profondément énervée par quelqu'un ou quelque chose.
Alexander ne put résister et la serra tendrement dans ses bras avant de l'interroger à son tour:

- Et toi ? Tu viens rarement des les dortoirs, le plus souvent pour des raisons précises ou des occasions spéciales... Il s'est passé quelque chose ??

Orianna le fixa, impatiente.

- Hum... Comment t'expliquer cela... J'ai été suspendu pour quelque jours à cause d'un "comportement insolent" comme le dirait le Sergent Riburn...

Exaspérée, Orianna redouta la suite mais elle laissa cependant le soldat continuer:

- Il y a quelques jours je me suis rendu sur ordre du Commandant Erwin à une réunion organisée par le Sergent Riburn. Récemment un groupe de voleurs et de mercenaires sévit en ville, ils ont déjà fait plusieurs blessés. Le but de la réunion était donc d'échafauder une stratégie contre ces malfaiteurs afin de les arrêter. La stratégie du Sergent Riburn était totalement stupide. Je lui ais donc fait savoir mon avis sur ce qu'il appelait une "stratégie" en lui exposant les points faibles de cette dernière. J'ai ensuite expliqué mon point de vue et la stratégie pour laquelle j'aurai optée. Cependant "Monsieur le Sergent Riburn" ne l'entendait pas de cette oreille et l'a mal pris. Et devant mon "insolence", il m'a suspendu.

La jeune chef leva les yeux au ciel, avant de les poser sur son partenaire, légèrement découragée.

- Je suis donc réduit aux corvées et consigné dans ma chambre pour disons quelques semaines si ce vieux rat se montre clément !

''Pourtant il est jeune...'' Pensa la jolie déesse.

Puis, Orianna remarqua qu'elle se faisait enlacer par des bras qu'elle aimait et qui la rassuraient et réconfortaient. Elle se blottit contre son partenaire, son propre front reposant dans le bas du cou du soldat. Aipaisée, elle soupira doucement sous cette nouvelle sereineté.

- Et toi ? Tu viens rarement des les dortoirs, le plus souvent pour des raisons précises ou des occasions spéciales... Il s'est passé quelque chose ??

Elle grimaça presque en se rappellant la discution avec les déesses.

- J'ai eu droit à une merveilleuse visite de la part de ma chère ancêtre et ses trois acolytes. Ça n'aurait pas été si terrible si Ennima Rakas n'était pas venue aussi. Elle est d'un caractère qui irrite presque plus que des ongles sur un tableau! Et pire encore, si je dis une chose négative sur elle, l'une de ses compagnes me gronde comme si j'avais cinq ans! Expliqua-t-elle en perdant presque son calme. Mais détrompes-toi, je suis venue dans ces dortoirs parce que quelqu'un n'était pas à son poste. Ajouta Orianna, amusée.

- J'ai eu droit à une merveilleuse visite de la part de ma chère ancêtre et ses trois acolytes. Ça n'aurait pas été si terrible si Ennima Rakas n'était pas venue aussi. Elle est d'un caractère qui irrite presque plus que des ongles sur un tableau! Et pire encore, si je dis une chose négative sur elle, l'une de ses compagnes me gronde comme si j'avais cinq ans! Expliqua-t-elle en perdant presque son calme. Mais détrompes-toi, je suis venue dans ces dortoirs parce que quelqu'un n'était pas à son poste. Ajouta Orianna, amusée.

La dernière phrase de la jeune femme résonna dans l'esprit du jeune soldat. Une personne qui n'était pas à son poste ? Alexander ne voyait pas à qui la jeune déesse pouvait bien faire allusion. Les guerriers et gardes étaient tous sortis des dortoirs lorsqu'ils avaient entendus Orianna s'approcher, il ne restait maintenant plus que cette dernière et le jeune soldat qui suspendu, en avait profité pour s'offrir une matinée de repos.
Une pensée traversa l'esprit du jeune homme qui se retourna vers sa bien aimée en posant son regard interrogateur sur elle. Orianna qui semblait amusée par la surprise et l’incompréhension d'Alexander esquissa un sourire et laissa échapper un petit rire.
Ce dernier se pointa du doigt et prononça malgré l'inquiétude qui lui montait au ventre:

- Hum... Cette personne qui n'est pas à son poste... C'est... C'est moi ?

Orianna regarda son partenaire, qui lui semblait pensif, ce qui l'intrigua.

- Hum... Cette personne qui n'est pas à son poste... C'est... C'est moi ? demanda le soldat.

Orianna eclata de rire, amusée. La jeune déesse voyait bien l'inquiétude dans le regard honteux e son partenaire, ce qui ne fit qu'ajouter à son hilarité soudaine. Puis, la chef fit mine d'Avoir froid et se blottit un peu plus contre le soldat, qui lui l'acceuilla à bras ouverts. Orianna préférait habituellement garder les gestes plus intimes intimes justement, et elle n'avait pas l'habitude de profiter du comfort qu'offrait l'étreinte de son amoureux... Mais ce matin-là, elle en avait tout simplement besoin. La jeune chef possédait un corps mince mais très bien découpé, ce qui la rendait parfaite pour les bras forts d'Alexander, comme si ils étaient fait l'un pour l'autre. La plupart des membres du clan ignoraient leur relation pourtant établie. Pourquoi? Parce que la jeune déesse avait la réputation d'être indépendante et professionnelle, et lorsqu'elle était avec le soldat, elle était vulnérable, sensible et même, mot qui la dégoutait presque, fragile. Montrer ce côté contraire de sa personnalité au clan était hors de question.

- Oui, mais... Commença-t-elle.

La jeune déesse plaça une main froide sur la joue du soldat.

- J'aimerais que... tu restes...

Elle avait presque envie de se frapper elle même après avoir dit ça. Orianna se contenta d'une légère grimace de honte, puis elle se sentit même rougir. Que lui arrivait-il?? La fatigue la rendait presque pire qu'une actrice dans ces films d'amour dégoutants que les humaines regardaient en pleurant.

- J'aimerais que... tu restes...

La phrase de la jeune chef résonnait encore dans l'esprit d'Alexander, qui étant peu habitué à ce que sa compagne lui montre aussi ouvertement son amour, demeura pendant quelques secondes surpris.
Ne remarquant pas de réactions de la part de son amant et réalisant un peu son comportement, la jeune femme commença doucement à rougir.
Alexander savait qu'Orianna était horriblement fatiguée et qu'elle commençait à regretter ses paroles. Alors, un peu perdu et ne sachant que réellement faire, le jeune soldat prolongea leur étreinte avec une certaine maladresse, cependant emplie de douceur. Il jeta un regard vers Orianna, qui plutôt rassurée par le geste de son compagnon, ne semblait pas vouloir le repousser.
Ils demeurèrent encore ainsi, lovés l'un contre l'autre, pendant quelques minutes.
Alexander déposa ensuite un baiser sur le front d'Orianna avant de lui répondre:

- Orianna, tu sais très bien que rester avec toi ne me pose pas de problèmes, ou plutôt, que je veux rester avec toi ! Mais s'il-te-plaît, vas au moins te reposer pendant une heure ou deux, tu es horriblement fatiguée...

Alexander prit le visage d'Orianna entre ses mains avant de poursuivre:

- De toute façon, cette nouvelle peut bien attendre non ? Et puis...

Le jeune soldat ne put finir sa phrase, car elle fut interrompue par le bruit d'une main toquant sur la porte.
Quelques secondes après, une voix se fit entendre:

- Soldat Finn ? C'est moi, le Commandant Erwin, êtes-vous dans votre chambre ? Si oui, puis-je entrer ?